THE RIDE - NEW ALBUM & SHOWS
— Monday October 24, 2022
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2006
+ A Concert (90min)
+ A Documentary (60min)
Didier Verbeek / RTBF / 2004
+ And four videoclips:
- Swedish Designer Drugs
- Housewife
- Sunchild
- Victory
+ Bonus Audio CD
1998
1996
1992
1992
1991
1990
DAAN surprises again with his 7th studio album.
As usual, Daan only found the idea of making a new album interesting if there was a new direction, an adventure, something he'd never done before. After indie, electro, rock, or classic intimacy, it was time to return to his own musical roots.
For 'Simple', he went in search of the roots of songs from his own repertoire. For 'Le Franc Belge' that became the sounds of his childhood in the '70's. The sounds of Paris, French chanson and 'le cinéma', but equally the sound of rattling rock-basements, epic westerns & smoky nightclubs.
The Baroque-poppy 'The Gates', and the horse-whinny cheered 'Irrelevant' are vintage-Daan, but then with well orchestrated strings and brilliant brass. Partly in French, partly in English.
The lyrics go deeper than ever. The contrast between Daan's English lyrics and the French ones he wrote with filmmaker Thierry Dory, provide sharp contrasts: wild vs wise, heaven vs hell, child vs man, man vs woman, fantasy vs fatalism, love vs lust ...
'Le Franc Belge' is not only a surprising, adventurous logical successor to Daan's previous album but more of a reaction to it. The acoustic approach of 'Simple' now opens more complex doors. Doors to towering palaces of sound and ideas. Never before has a Daan album sounded so grandiose, epic and self-assured.
Isolde Lasoen (drums, percussion and retro-French backings ), Jean-François Assy (cello), and co-producer Jeroen Swinnen (all sorts of keys) received reinforcement from Geoffrey Burton (guitar), brass led by established name Jo Hermans, Jef Neve (piano), a string orchestra, and all that mixed with the crème de la crème of Brussels' jazz scene and a series of intriguing figures from the Carpathian Mountains.
With ‘Le Franc Belge’, Daan trots through 40 years of musical heritage like the love-child of Lee Marvin and Françoise Hardy, and adds a frantically exciting new chapter to his own musical Tower of Babylon.
A lively and cool introduction to 'How Not To Get Bored By Life'.
DAAN verrast opnieuw met zijn 7e studioplaat, het raak getitelde 'Le Franc Belge'.
Zoals gewoonlijk kon het idee een nieuw album te maken hem enkel bekoren als er een nieuwe richting was, een avontuur, iets wat hij nog nooit eerder had gedaan.Na indie, electro, rock, of klassieke intimiteit, werd 't tijd eens terug te keren naar zijn eigen muzikale roots.
For 'Simple', he went in search of the roots of songs from his own repertoire. For 'Le Franc Belge' that became the sounds of his childhood in the '70's. The sounds of Paris, French chanson and 'le cinéma', but equally the sound of rattling rock-basements, epic westerns & smoky nightclubs.
Ging hij met 'Simple' nog op zoek naar de roots van nummers uit zijn eigen repertoire, voor 'Le Franc Belge' werden dat de geluiden van zijn kindertijd in de jaren '70. De geluiden van Parijs, het Franse chanson en 'le cinéma', maar evenzeer de sound van rammelende rockkelders, epische westerns & rokerige nachtclubs.
'Le Franc Belge' is geen nostalgische ode aan 'days gone by' geworden. Nummers als ‘Mes Etats Unis’, het met sirtaki en hip hop flirtende 'La Crise' en de losgeslagen eerste single 'Everglades' klinken urgent en tackelen hedendaagse onderwerpen, maar zoals steeds met een speelse en toch rebelse knipoog. Het barokpoppy 'The Gates', en het met paardengehinnik opgevrolijkte 'Irrelevant' zijn vintage-Daan, maar dan met breed uitwaaierende strijkers en schatterende blazers. Deels in 't Frans, deels in 't Engels.
Tekstueel gaat het dieper dan tevoren; het contrast tussen Daan's Engelse teksten en de Franstalige die hij schreef met de cineast Thierry Dory, leveren scherpe contrasten; wild vs wijs, hemel vs hel, kind vs man, man vs vrouw, fantasme vs fatalist, liefde vs lust ...
'Le Franc Belge' is niet enkel een tegelijkertijd verrassend, avontuurlijk, logisch vervolg op Daan’s vorige album, maar nog veel meer een reactie erop. De akoestische benadering van 'Simple' opent nu complexere, nieuwe deuren. Deuren naar torenhoge paleizen van geluid en ideëen. Nooit tevoren klonk een album van Daan zo groots, episch en zelfverzekerd.
Isolde Lasoen (drums,percussie en retrofranse backings),
Jean-François Assy (cello), en co-producer Jeroen Swinnen (allerlei toetsen), kregen versterking van Geoffrey Burton (gitaar), blazers onder leiding van vaste waarde Jo Hermans , Jef Neve (piano), een strijkersorkest, en dat alles vermengd met de crème de la crème uit de Brusselse jazz en een rits intrigerende figuren uit de Karpaten.
Met ‘Le Franc Belge’ draaft Daan als de bastaard zoon van Lee Marvin en Françoise Hardy doorheen 40 jaar muzikaal erfgoed en voegt hij een razend spannend nieuw hoofdstuk toe aan zijn eigen muzikale toren van Babel.
Een levendige en coole introductie tot 'How Not To Get Bored By Life'.
Il marche en regardant ses pieds, on imagine un petit garçon égaré, mais il est trop grand pour qu’on y croie, il est trop viril aussi. Et quand il chante, c’est un homme mûr, sûr de lui, solide.
C’est un roc. Et sa voix rocaille. Elle soulèverait des troupes et des montagnes.
Daan, ex-Dead Man Ray, chanteur flamand qui n’hésite d’ailleurs pas à chanter dans sa langue maternelle pour protester contre la politique d’extrême-droite. Il soulève non seulement les insoumis mais aussi, et depuis plus de vingt années, les applaudissements.
Homme de scène, il se révèle dans ses disques et celui-ci particulièrement. Parce qu’il ose, pour la première fois, écrire en français alors que ça lui semblait impossible, il offre une version de lui-même encore plus vaste.
Daan est « un homme sans frein », on s’en doutait déjà quelque peu, « un homme averti » de « trente treize ans » qui, soutenu par Thierry Dory, son ami réalisateur, a écrit de superbes chansons.
Un univers bien à lui qui s’encanaille d’influences diverses. D’Yves Montand à Françoise Hardy,
en passant (entre autres) par Bashung et Gainsbourg, les morceaux clignent de l’œil à l’un ou à l’autre mais ne s’égarent pas.
Daan se livre, il nous parle de lui, de ses doutes, ses écueils mais aussi du monde qu’il habite. Et si cet album rend hommage à la chanson française dans ce qu’elle a de plus grand, c’est d’un chanteur belge dont il est question, d’humour en coin et de sourires tristes, de révolte et d’autodérision.
« La crise », texte qui liste toute une série de crises de notre époque, des plus intimes aux plus sociétales est introduit par des sonorités de musique traditionnelle grecque… « Palaistine », pays sans palais et « même s’il y en avait, ce serait des ruines », dénonce et déchire. Dans « Mes états unis », Daan (« ce prénom a deux A, qui résonne comme anarchie ») se dit et dans un même mouvement dit son pays, son appartenance menacée. On est touché, au bord du « noyage ».
Avec cet album, il surprendra ses fans —même si cinq morceaux en anglais résonnent et font lien avec ses derniers succès— et c’est bien cela qu’il cherche, ce « samouraï », aller sur des terrains où on ne l’attend pas, surtout ne pas faire deux fois la même chose.
Ses musiciens, fidèles, l’ont accompagné sur ce projet. On est heureux de retrouver la voix d’Isolde Lasoen, ses percussions, son souffle et le violoncelle de Jean-François Assy, ses deux comparses de la dernière tournée, tournée qui semblait ne pas devoir s’essouffler tant elle a ravi son public.
Mais les talents sont nombreux à entourer la voix de Daan et on se dit que ce n’est pas par hasard si « ça colle ». De la scène jazz au son des Balkans, Daan sait s’entourer, ce sont des musiciens d’exception qui se sont emparés de ses morceaux et les ont sublimés.
Homme de scène, homme de parole, chanteur, musicien, Daan est aussi un homme de l’image, il a voulu cet album comme un tout, un partage de son univers. Il a réalisé lui-même la couverture du « Franc belge » noir, blues et lumière. Couleurs de l’album.
« Cet homme restera dans ma vie » souffle une voix blanche et aérienne de ce « Conducteur fantôme », et on veut bien la croire.
Daan - Parfaits Mensonges (official video)
La Crise
Concert (trailer)
Victory
Swedish designer drugs
Sunchild
Housewife
Fuzzy Cover
Icon
DAAN LANDMIJN official video
Daan - The Kid (official video)
DAAN - Palaistine (Lyrics vidéo)
Bookings
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Bookings France
nathalie@laprodjv.com
Bookings Holland
gabriel@glorybox.be
Press
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Management
promo@daan.be
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